On commence seulement à explorer l’œuvre conséquente du compositeur et
violoniste tchèque Jan Kalivoda (Kalliwoda selon la transcription
allemande), représentant estimable de la période romantique. Outre
quelques quatuors enregistrés il y a dix ans (La dolce volta), le disque s’est principalement intéressé à son répertoire symphonique, notablement exploré par CPO autour de deux disques consacrés à ses Deuxième, Quatrième, Cinquième et Septième Symphonies.
Place cette fois à deux de ses huit Concertinos pour violon – sorte de petits concertos aux mouvements enchaînés dont Kalivoda (1801-1866) s’est fait l’expert pour différents instruments – ainsi qu’à trois de ses vingt-quatre Ouvertures. Il est à noter que le livret comporte une erreur: ce sont bien les Premier et Septième Concertinos qui sont ici enregistrés aux côtés des Troisième, Septième et Dixième Ouvertures. Ces dernières apparaissent intéressantes par leur force de caractère, qualité malheureusement manquante aux concertinos, peu inspirés au niveau mélodique et assez déstructurés.
Il est vrai que l’interprétation assez prévisible d’Ariadne Daskalakis n’arrange rien, autour d’un son trop étriqué pour réellement nous emporter. Il faudra donc découvrir en priorité les disques consacrés au répertoire symphonique, principalement le bel enregistrement d’Andreas Spering (CPO, 2005) sur instruments anciens (comme ici).
Place cette fois à deux de ses huit Concertinos pour violon – sorte de petits concertos aux mouvements enchaînés dont Kalivoda (1801-1866) s’est fait l’expert pour différents instruments – ainsi qu’à trois de ses vingt-quatre Ouvertures. Il est à noter que le livret comporte une erreur: ce sont bien les Premier et Septième Concertinos qui sont ici enregistrés aux côtés des Troisième, Septième et Dixième Ouvertures. Ces dernières apparaissent intéressantes par leur force de caractère, qualité malheureusement manquante aux concertinos, peu inspirés au niveau mélodique et assez déstructurés.
Il est vrai que l’interprétation assez prévisible d’Ariadne Daskalakis n’arrange rien, autour d’un son trop étriqué pour réellement nous emporter. Il faudra donc découvrir en priorité les disques consacrés au répertoire symphonique, principalement le bel enregistrement d’Andreas Spering (CPO, 2005) sur instruments anciens (comme ici).
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