Publié à l’occasion du cent cinquantième anniversaire de la mort de
Berlioz, le présent ouvrage a été présenté lors du colloque organisé au
festival de La Côte-Saint-André 2019, qui regroupait la plupart des
spécialistes internationaux ayant participé à cette somme de niveau
universitaire. Si l’ambition de cette somme de plus de 300 pages est de
s’adresser avant tout aux connaisseurs avertis de Berlioz, qu’ils soient
déjà lecteurs de ses Mémoires ou de l’une de ses biographies, notamment l’excellente synthèse de Bruno Messina parue cette année,
ou bien parfaitement aguerris à l’étendue de sa production musicale, la
rédaction savante n’en oublie jamais de rester intelligible au tout
venant, en un style fluide – et ce malgré l’hétérogénéité des
contributeurs réunis pour l’occasion.
Outre l’avant-propos de John Eliot Gardiner et la préface de Bruno Messina, la qualité de l’ensemble est attestée par les deux spécialistes qui l’ont coordonné, Alban Ramaut (qui a notamment édité les Mémoires en 2011) et Emmanuel Reibel, spécialiste du romantisme français (voir notamment sa préface à A travers chants en 2013).
De même, on reste impressionné par la qualité du travail éditorial, que ce soit dans les nombreuses reproductions d’illustrations variées ou dans la précision apportée à la relecture de l’ensemble des textes (où l’on n’a relevé qu’une insolite coquille, en page 244, pour le malheureux Roger Norrington, déjà souvent égratigné par la critique et ici renommé sous le patronyme de «Torrington»!).
Outre l’avant-propos de John Eliot Gardiner et la préface de Bruno Messina, la qualité de l’ensemble est attestée par les deux spécialistes qui l’ont coordonné, Alban Ramaut (qui a notamment édité les Mémoires en 2011) et Emmanuel Reibel, spécialiste du romantisme français (voir notamment sa préface à A travers chants en 2013).
De même, on reste impressionné par la qualité du travail éditorial, que ce soit dans les nombreuses reproductions d’illustrations variées ou dans la précision apportée à la relecture de l’ensemble des textes (où l’on n’a relevé qu’une insolite coquille, en page 244, pour le malheureux Roger Norrington, déjà souvent égratigné par la critique et ici renommé sous le patronyme de «Torrington»!).
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